BEES - Hamzaoui 45100
  fortes récoltes !
 

pour de fortes récoltes ! 

Sur sept ruches LEGRIS et après cinq ans d'exploitation par son créateur, il a été prélevé 300 cellules de mâles par ruche à l'aide d'un emporte-pièces, soit 2100 cellules mâles sur l'ensemble qui ont été isolées et menées jusqu'à la naissances des faux-bourdons par une méthode particulière. Lorsque le dernier mâle a vu le jour il a été effectué un traitement énergique suivi du comptage, six varroas jacosoni en tout et pour tout et sur un cadron correspondant à une seule ruche. Nous pouvons dire que seulement une ou deux cellules ont été parasitées. Le couvain prélevé se situait sous le couvain des femelles et donc à une température moindre, que l'élevage des mâles était relativement abondant. Ce sont là des situations idéales pour le varroa jacobsoni et qui ont sur le parasite un pouvoir attractif très fort, irrésistible.

Ces résultats ne veulent pas dire que les ruches étaient totalement exemptes de parasites mais qu'elles se trouvaient parasitées à un niveau extrêmement bas. Il faut dire qu'entourées d'autres ruches classiques elles ne manquent pas d'être parasitées tout au long de l'année mais qu' elles le sont à des niveaux extrêmement bas, insignifiants et sans aucun produit chimique.

Il faut également faire en sorte que les abeilles ne manquent pas de place pour le couvain mâle afin que par la suite le parasite ne manque pas de ces cellules au moment de leur fermeture sinon il n'attendra pas et parasitera une cellule d'ouvrière.

Le type de cadre de la ruche LEGRIS permet la chute naturelle des varroas vers l'extérieur de la ruche lorsque les abeilles s'épouillent. Ces chutes sont favorisées par le fait que le couvain mâle se trouve très près de la "sortie". Pour se loger dans ces cellules il faut que le varroa quittecorps d'une ouvrière pour rejoindre cette zone sensible et c'est pour lui l'endroit et l'instant de tous les dangers. Il peut se faire bousculer, tomber et il n'y a pas grand chose pour le retenir dans sa chute, ce qui est différent de plus haut sur le rayon. En sortant des cellules, c'est peut-être pire pour lui car il lui faut regagner une abeille et celle-ci aura un sursaut de défense envers le parasite avant de se résigner. Les ruches sont surélevées de 45 centimètres environ et les varroas n'ont pratiquement aucune chance de retourner à la ruche une fois à terre. Cela n'a jamais été observé.

Au printemps, au bon moment et selon un planning il faut veiller à ce que les bas des rayons où se trouve le couvain et sous la dernière tige d'acier soient exemptes de cellules d'ouvrières sinon il faut araser le bas du rayon en se servant des tiges. Ceci afin que les abeilles puissent étirer des cellules de couvain mâle. Ce sont ces cellules de mâles que les varroas affectionnent et choisissent toujours de préférence surtout à cet endroit où elles sont légèrement plus fraîches. Il faut dire aussi qu'à une certain moment les abeilles on besoin de faire de l'élevage de mâles, elles sont alors attirées par les cellules de mâles sous la dernière tige ou par l'espace vide qui s'y trouve pour y construire des alvéoles de mâles. Du fait qu'elles ne laissent jamais d'espaces vides entre couvain d'ouvrières et couvain de mâles, le cadre est garni de couvain en entier. Environ vingt cinq jours après cette opération on découpe le couvain mâle operculé. De cette manière on enlève du même coup les varroas qui s'y trouvent selon leur préférence. En répétant l'opération deux ou trois fois espacées de 13 à 14 jours on obtient des résultats plus que satisfaisants. Les découpes, selon des normes conventionnelles peuvent être analysées en vue de sélectionner les colonies qui se défendent le mieux du parasite.

Les tiges remplaçant les fils peuvent servir également de guide pour découper des portions de miel ou de pollen en rayon. Une vraie nouveauté pour le pollen en rayon et c'est pour vous un filon à exploiter! Lorsque les rayons commencent à vieillir, ces tiges servent également de guide pour découper en quinconce des portions dans ces vieux rayons du haut vers le bas et inversement la fois d'après. Dans les espaces vides ainsi créés les abeilles rebâtissent et les cires se renouvellent de cette manière en permanence. De plus ces nouvelles cires ont les alvéoles aux dimensions de votre race d'abeille et c'est un atout supplémentaire pour la lutte contre le varroa. Le travail est parfait, fini les grattages, les fils à remplacer, à retendre, les cires à souder sans parler de l'achat de ces celles-ci! Le confort de cette ruche fait qu'il n'y a pas de travaux rébarbatifs. C'est une ruche qui se révèle être très agréable dans le temps.

Au démarrage de la ruche LEGRIS il faut donner un minimum de cadres à bâtir afin qu'ils le soient vite et bien. Pour cela la ruche comporte une cloison qui permet d'isoler les cadres à bâtir des autres cadres logés en même temps dans la ruche mais qui doivent être retournés c'est à dire positionnés la traverse basse vers le haut afin d'en interdire l'accès aux abeilles. On agrandit la ruche au fur et à mesure. Ce point est important à respecter car il est à la base du bon fonctionnement de cette ruche, il faut créer d'abord un nid compact.

Ce matériel présente bien d'autres particularités, plus besoin d'extracteur pour un petit nombre de ruches. Nous étudions la possibilité de récolter le miel sur place, au rucher même et sans cet appareil. Ce sera très simple et pratique. Cette ruche est automatiquement nettoyée, protégée de la fausse teigne puisque les cadres sont au contact des abeilles tout au long de l'année et si elles se réfugient dans une partie de la ruche c'est qu'il fait froid et la teigne n'agit plus. Cela n'empêche pas les ouvrières de visiter par de belles journées le reste de leur territoire que sont ces parties provisoirement inoccupées. Chaque cadre peut être marqué au numéro de la ruche et être suivi, cela s'y prête bien et évite les contaminations, l'enlisement du matériel dans des bourbiers que sont les loques.

Quelques cadres et deux panneaux peuvent être sanglés, protégés par un sac plastique et servir de ruchette pour piéger ou recueillir des essaims. On peut peupler la ruche avec deux colonies, une à chaque extrémité, ne serait ce que provisoirement ou pour les laisser s'unifier. Cette ruche permet bien d'autres manipulations.

Des nourrisseurs propres à ces ruches, des ruchettes cinq cadres dont une partie de la conception peut être utilisée comme deux nourrisseurs, des panneaux de fermeture pour le dessous (pour la transhumance), des trappes à pollen peuvent compléter cette ruche ainsi que d' autres innovations à venir le feront.

Ce sont autant de bonnes raisons pour vous d'acquérir ce matériel et il devient plus économique d'acheter ce matériel, même à crédit, que de garder son matériel ancien! De plus cette ruche semble tout à fait profitable sous des climats rigoureux, ce sont là des atouts qui devraient lui accorder le succès. Elle est à la fois une ruche à cadres mobiles avec ses avantages et une ruche à rayons fixes avec ses autres avantages. C'est aussi la satisfaction pour vous d'être pionnier dans la lutte naturelle contre le varroa jacobsoni, d'être de ceux qui certainement sauront faire connaître cette magnifique ruche LEGRIS.

 
 

Une ruche anti-varroa

pour de fortes récoltes !

Sur sept ruches LEGRIS et après cinq ans d'exploitation par son créateur, il a été prélevé 300 cellules de mâles par ruche à l'aide d'un emporte-pièces, soit 2100 cellules mâles sur l'ensemble qui ont été isolées et menées jusqu'à la naissances des faux-bourdons par une méthode particulière. Lorsque le dernier mâle a vu le jour il a été effectué un traitement énergique suivi du comptage, six varroas jacosoni en tout et pour tout et sur un cadron correspondant à une seule ruche. Nous pouvons dire que seulement une ou deux cellules ont été parasitées. Le couvain prélevé se situait sous le couvain des femelles et donc à une température moindre, que l'élevage des mâles était relativement abondant. Ce sont là des situations idéales pour le varroa jacobsoni et qui ont sur le parasite un pouvoir attractif très fort, irrésistible.

Ces résultats ne veulent pas dire que les ruches étaient totalement exemptes de parasites mais qu'elles se trouvaient parasitées à un niveau extrêmement bas. Il faut dire qu'entourées d'autres ruches classiques elles ne manquent pas d'être parasitées tout au long de l'année mais qu' elles le sont à des niveaux extrêmement bas, insignifiants et sans aucun produit chimique.

Il faut également faire en sorte que les abeilles ne manquent pas de place pour le couvain mâle afin que par la suite le parasite ne manque pas de ces cellules au moment de leur fermeture sinon il n'attendra pas et parasitera une cellule d'ouvrière.

Le type de cadre de la ruche LEGRIS permet la chute naturelle des varroas vers l'extérieur de la ruche lorsque les abeilles s'épouillent. Ces chutes sont favorisées par le fait que le couvain mâle se trouve très près de la "sortie". Pour se loger dans ces cellules il faut que le varroa quittecorps d'une ouvrière pour rejoindre cette zone sensible et c'est pour lui l'endroit et l'instant de tous les dangers. Il peut se faire bousculer, tomber et il n'y a pas grand chose pour le retenir dans sa chute, ce qui est différent de plus haut sur le rayon. En sortant des cellules, c'est peut-être pire pour lui car il lui faut regagner une abeille et celle-ci aura un sursaut de défense envers le parasite avant de se résigner. Les ruches sont surélevées de 45 centimètres environ et les varroas n'ont pratiquement aucune chance de retourner à la ruche une fois à terre. Cela n'a jamais été observé.

Au printemps, au bon moment et selon un planning il faut veiller à ce que les bas des rayons où se trouve le couvain et sous la dernière tige d'acier soient exemptes de cellules d'ouvrières sinon il faut araser le bas du rayon en se servant des tiges. Ceci afin que les abeilles puissent étirer des cellules de couvain mâle. Ce sont ces cellules de mâles que les varroas affectionnent et choisissent toujours de préférence surtout à cet endroit où elles sont légèrement plus fraîches. Il faut dire aussi qu'à une certain moment les abeilles on besoin de faire de l'élevage de mâles, elles sont alors attirées par les cellules de mâles sous la dernière tige ou par l'espace vide qui s'y trouve pour y construire des alvéoles de mâles. Du fait qu'elles ne laissent jamais d'espaces vides entre couvain d'ouvrières et couvain de mâles, le cadre est garni de couvain en entier. Environ vingt cinq jours après cette opération on découpe le couvain mâle operculé. De cette manière on enlève du même coup les varroas qui s'y trouvent selon leur préférence. En répétant l'opération deux ou trois fois espacées de 13 à 14 jours on obtient des résultats plus que satisfaisants. Les découpes, selon des normes conventionnelles peuvent être analysées en vue de sélectionner les colonies qui se défendent le mieux du parasite.

Les tiges remplaçant les fils peuvent servir également de guide pour découper des portions de miel ou de pollen en rayon. Une vraie nouveauté pour le pollen en rayon et c'est pour vous un filon à exploiter! Lorsque les rayons commencent à vieillir, ces tiges servent également de guide pour découper en quinconce des portions dans ces vieux rayons du haut vers le bas et inversement la fois d'après. Dans les espaces vides ainsi créés les abeilles rebâtissent et les cires se renouvellent de cette manière en permanence. De plus ces nouvelles cires ont les alvéoles aux dimensions de votre race d'abeille et c'est un atout supplémentaire pour la lutte contre le varroa. Le travail est parfait, fini les grattages, les fils à remplacer, à retendre, les cires à souder sans parler de l'achat de ces celles-ci! Le confort de cette ruche fait qu'il n'y a pas de travaux rébarbatifs. C'est une ruche qui se révèle être très agréable dans le temps.

Au démarrage de la ruche LEGRIS il faut donner un minimum de cadres à bâtir afin qu'ils le soient vite et bien. Pour cela la ruche comporte une cloison qui permet d'isoler les cadres à bâtir des autres cadres logés en même temps dans la ruche mais qui doivent être retournés c'est à dire positionnés la traverse basse vers le haut afin d'en interdire l'accès aux abeilles. On agrandit la ruche au fur et à mesure. Ce point est important à respecter car il est à la base du bon fonctionnement de cette ruche, il faut créer d'abord un nid compact.

Ce matériel présente bien d'autres particularités, plus besoin d'extracteur pour un petit nombre de ruches. Nous étudions la possibilité de récolter le miel sur place, au rucher même et sans cet appareil. Ce sera très simple et pratique. Cette ruche est automatiquement nettoyée, protégée de la fausse teigne puisque les cadres sont au contact des abeilles tout au long de l'année et si elles se réfugient dans une partie de la ruche c'est qu'il fait froid et la teigne n'agit plus. Cela n'empêche pas les ouvrières de visiter par de belles journées le reste de leur territoire que sont ces parties provisoirement inoccupées. Chaque cadre peut être marqué au numéro de la ruche et être suivi, cela s'y prête bien et évite les contaminations, l'enlisement du matériel dans des bourbiers que sont les loques.

Quelques cadres et deux panneaux peuvent être sanglés, protégés par un sac plastique et servir de ruchette pour piéger ou recueillir des essaims. On peut peupler la ruche avec deux colonies, une à chaque extrémité, ne serait ce que provisoirement ou pour les laisser s'unifier. Cette ruche permet bien d'autres manipulations.

Des nourrisseurs propres à ces ruches, des ruchettes cinq cadres dont une partie de la conception peut être utilisée comme deux nourrisseurs, des panneaux de fermeture pour le dessous (pour la transhumance), des trappes à pollen peuvent compléter cette ruche ainsi que d' autres innovations à venir le feront.

Ce sont autant de bonnes raisons pour vous d'acquérir ce matériel et il devient plus économique d'acheter ce matériel, même à crédit, que de garder son matériel ancien! De plus cette ruche semble tout à fait profitable sous des climats rigoureux, ce sont là des atouts qui devraient lui accorder le succès. Elle est à la fois une ruche à cadres mobiles avec ses avantages et une ruche à rayons fixes avec ses autres avantages. C'est aussi la satisfaction pour vous d'être pionnier dans la lutte naturelle contre le varroa jacobsoni, d'être de ceux qui certainement sauront faire connaître cette magnifique ruche LEGRIS.

 
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