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comme au rucher, on démarre en douceur !
- Les abeille se sont disséminées au travers le monde,
mais quel est le continent d’origine d’Apis mellifera ?
Réponse C’est, l’Asie au Moyen Orient,
Api cerana constitue la souche primaire.
- Quelle race d’abeilles est la plus représentée dans l’apiculture européenne ?
Réponse C’est l’Apis mellifera mellifera Linné, appelée abeille noire
dont le territoire s’étend de l’Espagne à la Russie, elle est résistante à l’hiver, peu essaimeuse.
- L’abeille italienne est la plus exportée dans le monde,
notamment en Amérique et en Australie ? Quel est son nom ?
Réponse C'est l' Apis Ligustica Spinola,
elle est très douce,
peu essaimeuse avec une bonne capacité d'élevage.
- La race d’abeille Apis mellifera carnica Pollman
est la plus volumineuse, quelle est sa patrie d’origine ?
Réponse Elle s’est fixée aux Balkans, de l’Autriche à la Grèce,
elle est douce mais essaimeuse, appelée aussi carnolienne.
- Un groupe d'abeilles s'est fixé dans les montagnes du Caucase à la mer Noire,
il est proche de la carnolienne, quel est-il ?
Réponse C’est le groupe des caucasiennes,
Apis mellifera caucasia Gorbatchev, abeilles douces,
résistantes à l’hiver, peu essaimeuses mais propolisant beaucoup.
- Comment s’appelle la combinaison blanche que portent les apiculteurs ?
Une camisole ou une vareuse ?
Réponse Une vareuse.
- Quel instrument est indispensable aux apiculteurs ?
Réponsel’enfumoir.
- L’enfumoir a-t-il pour rôle d’endormir les abeilles ?
RéponseNon, il fait croire aux abeilles
qu’il y a le feu, les abeilles par
instinct vont alors descendre à l’intérieur
de la ruche pour se charger de miel,
en prévision d’une fuite collective.
Grâce à ce stratagème l’apiculteur
pourra travailler plus facilement.
- Avant d’ouvrir une ruche,
l’apiculteur doit toujours prévenir ses abeilles,comment s’y prend il ?
Réponse A l’aide de l’enfumoir,
il projette deux ou trois nuages de fumée au niveau du trou d’envol.
Le bruissement des abeilles va changer, elles sont prévenues
de la visite.
- L’apiculteur peut-il mettre n’importe quel combustible dans son enfumoir ?
Réponse Non, il doit veiller à ce que le combustible
ne dégage pas de flammes au niveau du cône de diffusion,
pour ne pas brûler les ailes de ses avettes.
La fumée générée doit être blanche et froide au maximum
et surtout ne pas marquer la cire de son odeur.
- Quels sont les combustibles à préférer aujourd’hui dans l’enfumoir ?
Réponse Des noyaux d’olive concassés sont confortables à l’emploi,
car ils émettent une fumée froide.
Ils sont pénible à enflammer mais tiennent durablement la combustion.
Des rouleaux de coton sont aussi bien pratiques,
fumée blanche et froide, bonne tenue de combustion, fumée neutre de saveur.
- Comment allumer son enfumoir ?
Réponse Il est conseillé d’enflammer une bandelette
de coton que l’on place au fond du foyer,
accélérer la combustion en activant
le soufflet lentement, puis disposer
le combustible progressivement
cône de diffusion ouvert. Refermer le cône
une fois le combustible bien enflammé.
- Où est-il conseillé d’enflammer l’enfumoir ?
RéponseIl faut se méfier, surtout en été des flammèches
qui se dégagent de l’enfumoir à l’allumage .
Pour limiter les risques d’incendie beaucoup
d’apiculteurs allument leur enfumoir dans la malle
arrière de leur véhicule,
où dans un lieu éloigné des herbes sèches.
Un jerrican d’eau à portée de la main est un plus.
- Les anciens utilisaient le chanvre, du carton ou des herbes sèches
dans leur enfumoir, est-ce conseillé aujourd’hui ?
RéponseIl faut éviter le carton car on y trouve des colles
au silicone très nocives.
Quant aux herbes sèches il faut parfois
s’en méfier en raison des flammèches dangereuses
si l’environnement du rucher est sec,
de plus elles laissent parfois au miel
une saveur de foin désagréable.
- Certains apiculteurs utilisent du tabac dans leur enfumoir
pour calmer leurs abeilles, est-ce à conseiller ?
RéponseNon, le tabac laisse son arôme au miel,
adieu la délicatesse du miel récolté.
Il est préférable d’utiliser de la propolis
pour calmer les abeilles qui seraient trop ardentes.
- Le cône de diffusion de l’enfumoir joue-t-il un rôle important ?
RéponseOui, plus il sera long plus la fumée sera refroidie.
Il est conseillé de rajouter une petite grille
en métal du style moustiquaire à l’extrémité
du cône pour éviter la chute du combustible
à l’intérieur de la ruche lorsque l’enfumoir est penché.
- Un outil différent de l’enfumoir est indispensable à l’apiculteur, quel est son nom ?
Réponse C’est le lève-cadre, deux modèles existent :
l’un ressemble à une pince à quatre mâchoires
permettant d’agripper la tête du cadre et de le soulever.
L’autre appelé aussi ‘griffe américaine’ a la préférence des apiculteurs.
C’est une petite barre d’acier dotée d’une extrémité
Coupante semblable à un ciseau à bois,
l’autre extrémité ressemble à un mini pied de biche
parfois munis d’un arrache-clou.
- Comment se sert-on d’un lève cadre ?
Réponse Grâce au lève-cadre
l’apiculteur peut soulever la tête du cadre
d’un coté puis de l’autre en coupant
la propolis déposée par les abeilles aux extrémités.
- Trois outils servent à l’apiculteur lors des visites des ruches,
quel outil est conseillé en plus du lève-cadre et de l’enfumoir ?
Réponse La brosse à abeille :
munie d’un long manche et de poils
en crin de cheval de préférence,
elle permet en balayant de bas en haut
de dégager toute abeille
de la partie du cadre que l’on veut observer.
Elle permet aussi lors d’un transvasement
de balayer des parois
de l’ancienne ruche les abeilles
et de les faire tomber sur
les cadres de la nouvelle demeure.
- Citez les trois outils conseillés à l’apiculteur lors du travail au rucher.
Réponse L’enfumoir, le lève-cadre et la brosse à abeille.
- Trois types de ruches sont utilisées en Europe,
toutes en bois, avec des toits plats ou de style chalet. Quels sont leur nom ?
RéponseCe sont les ruches DADANT les plus fréquentes;
les ruches VOIRNOT, et les ruches LANGSTROTH.
- Les ruches DADANT en fonction de l’usage sédentaire
ou pour la transhumance, sont-elles identiques ?
Réponse Non, les ruches DADANT utilisées de façon sédentaire
comportent généralement 12 cadres.
Toit plat ou chalet Les ruches DADANT
utilisées pour la transhumance sont majoritairement
des ruches à 10 cadres,
et ce pour faciliter le transport
tant au niveau du volume que du poids. Toit plat.
- Quel bois est utilisé de préférence pour la fabrication des ruches ?
Réponse Le sapin du nord convient le mieux,
suivi du pin des landes, les deux sans
nœuds et d’une épaisseur de 25mm.
- Les ruches DADANT, VOIRNOT et LANGSTROTH sont des ruches mobilistes à développement vertical.
Existe-t-il des ruches à développement horizontal ?
Réponse Oui, les ruches de type LAYENS
où le couvain et le miel se trouvent sur le même cadre.
Il existe aussi des ruches fixistes où
les rayons son fixés au plafond et aux parois,
tel les paniers.
- Comment s’appelle la partie de la ruche
où l’apiculteur récupère le miel de la récolte ? Le corps ou la hausse ?
RéponseC’est la hausse, châssis en bois
porteur de cadres de cire moitiés moins hauts que les cadres
de corps où vit la colonie ( modèle DADANT).
- La ruche en hivernage n’est constituée que du plancher, du corps de ruche et de son toit. Comment s’appelle la partie que l’apiculteur rajoute au printemps pour sa future récolte ? Réponse C’est la hausse, qui se pose entre le corps de ruche et le toit.
Au plus fort de la récolte il peut y avoir jusqu’à 5 hausses par ruche,
les années exceptionnelles.
- Quel type de ruche peut-on conseiller
pour une région aux hivers rigoureux ? DADANT ou VOIRNOT ?
Réponse Les ruches VOIRNOT,
qui sont aussi hautes que larges seront indiquées car,
leurs cadres carrés limitent le déplacement des abeilles
lorsqu’elles se nourrissent en hiver.
- Quelle est la particularité de la ruche Langstroth ?
RéponseC’est le seul modèle à posséder un corps de ruche
et une hausse de la même dimension.
Vous n'êtes pas obligés, d'apprendre par coeur !
question inclassable:
Quelle est la plus belle des abeilles ?
RéponseL'abeille de Cadix,
car elle a des yeux de velours.
- Les apiculteurs du monde entiers utilisent-ils des ruches mobilistes à développement vertical ?
Réponse Non,
dans les pays africains et au Moyen Orient
les ruches sont souvent des troncs d’arbres
évidés posés horizontalement, ou des abris fabriqués en ciment.
Dans les pays tropicaux,
la récolte s’effectue aussi aux dépends de colonies sauvages
dans les arbres ou à flanc de parois rocheuses.
- Pour récolter des essaims, l’apiculteur prévoyant
dispose aussi d’une mini ruche, comment s’appelle-t-elle ?
RéponseC’est la ruchette qui comporte 5 cadres,
légère elle permet de récupérer des essaims situés en hauteur.
Elle permet aussi d’élever de jeunes colonies peu populeuses .
- Dans un rucher disposé en ligne, y a-t-il un emplacement à donner de préférence aux ruchettes ?
Réponse Oui,
en les plaçant aux extrémités du rucher elles bénéficieront
de la dérive des abeilles des ruches voisines
et auront ainsi un apport de nourriture supplémentaire.
- Un apiculteur peut faire naître des reines au printemps, quel type de ruche utilisera-t-il ?
RéponseDes ruchettes à 5 cadres que l’on désigne alors
sous le nom de ruchettes de fécondation.
- Les ruches disposent d’un plancher en bois, est-il conseillé de le fixer définitivement à la ruche ?
Réponse Non,
il doit pouvoir être retiré même si la ruche est peuplée,
car un nettoyage de ce plancher
est à effectuer chaque printemps.
( grattage, eau de javel diluée, réchaud à gaz pour brûler
des parasites tels que vers dans le bois).
- Le plancher de la ruche peut-il comporter une grille d’aération ?
Réponse Oui,
cela ne refroidira la ruche que très peu, permettra de ventiler celle-ci,
diminuera fortement les phénomènes de condensation difficiles à gérer .
pour les abeilles..
Les abeilles peuvent résister au froid, mais ne peuvent rien faire
contre l’humidité.
- Lors de l’installation d’une ruche il convient de la poser directement sur le sol : vrai ou faux ?
Réponse Faux,
il convient de la surélever en la posant sur des parpaings par exemple
et de l’incliner légèrement vers l’avant pour faciliter
l’écoulement d’une humidité éventuelle par le trou d’envol.
- Il est important de bien surélever les ruches,
autant pour faciliter le travail des abeilles que celui de l’apiculteur : vrai ou faux ?
RéponseVrai,
pour les abeilles, car cela les éloigne de l’humidité du sol, des prédateurs,
ainsi que des herbes qui pourraient encombrer l’aire d’envol.
Vrai,
aussi pour l’apiculteur, celui-ci doit régler la hauteur en fonction de sa taille
pour ne pas souffrir du dos après des heures de travail au rucher.
- Pour protéger le bois de la ruche , il convient de le peindre ou de le traiter : vrai ou faux ?
RéponseVrai,
un bois humide perd ses fonctions isolantes.
Il convient de le traiter à l’intérieur comme à l’extérieur,
pour l’intérieur un mélange alcool/propolis est idéal,
pour l’extérieur des thermopeintures protègent efficacement et ont l’avantage
de réfléchir les rayons du soleil, limitant ainsi la surchauffe de la ruche.
- Entre la ruche Langstroth et la ruche Dadant, laquelle offre la plus grande réserve de miel ?
RéponseC’est la ruche Dadant qui offre un volume de 54 litres ,
alors que la ruche Langstroth n’offre que 44 litres de volume.
- Les hausses sont-elles apparues avec les ruches divisibles en bois ?
Réponse Non,
à l’époque de l’élevage des abeilles dans des paniers tressés,
l’apparition de hausses s’est effectuée sous forme d’un second panier
plus petit ( la calotte ) placé au-dessus.
- A quelle époque sont apparues les ruches peintes en couleur, au XVIIe, XIXe ou au XXIème siècle ?
Réponse Elles sont apparues au XVIIième siècle en Slovénie ( Balkans ),
les motifs étaient surtout religieux et politiques,
mais permettaient aux abeilles élevées dans des ruchers à tiroirs
de retrouver plus facilement leur colonie.
- Q’est-ce que un rucher à tiroir ?
Réponse C’est un rucher couvert,
où les ruches sont empilées les unes sur les autres
formant un mur de ruches.
L’apiculteur fera la visite des ruches
par l’arrière en tirant à lui successivement
chaque ruche tel un tiroir.
Ce type de rucher est fréquent dans les pays de l’Est,
il assure un bon calorifugeage aux ruches.
- Les ruchers à tiroirs permettent-ils la transhumance ?
Réponse Oui,
dans les pays de l’Est de nombreux ruchers à tiroir
sont installés dans des roulottes.
- Quelle est l’ orientation à privilégier lors de l’installation d’un rucher ? vers quelle direction doit-on orienter le trou d’envol des ruches ? nord-ouest ou sud-est ?
Réponse Il faut au maximum orienter le trou d’envol vers l’est,
plus tôt le soleil atteindra la planche d’envol,
plus tôt les abeilles sortiront butiner.
L’orientation sud assèche la face de la ruche, la réchauffe,
offre la meilleure situation pour suivre le mouvement du soleil.
- Le rucher doit-il être au soleil toute la journée ?
RéponseNon,
il est préférable qu’il soit à l’ombre aux horaires les plus chauds,
cela rend service aux ventileuses, évite à la ruche à la ruche
de trop monter en température, à la cire de trop se ramollir.
- Est-il conseillé de placer un rucher près d’un lac ?
Réponse Non,
l’humidité est un fléau pour les abeilles.
La brume matinale fréquente près des lacs amènerait
une condensation dévastatrice pour nos abeilles.
D’autre part les abeilles
se référant au soleil pour leur déplacements,
les reflets du soleil sur l’eau sont dangereux pour les abeilles
que l’on a déjà vues se tromper
et tomber dans des lacs par essaims entiers.
- Les ruches peuvent-elles être installées sur une crête par exemple ?
Réponse Non,
Il convient de les protéger du vent pour une raison de chaleur,
mais aussi pour une raison de dérive,
le vent pourrait empêcher les ouvrières de retourner à la ruche,
où les épuiser lorsqu’il s’oppose à leur progression.
- Lors de l’installation d’un rucher
il est préférable qu’il y ait un point d’eau à proximité : vrai ou faux ?
Réponse Vrai,
c’est important pour la colonie, sinon il convient de confectionner un abreuvoir
muni de cailloux émergeants afin que les abeilles puissent se désaltérer
sans risque de se noyer.
- Lors de l’installation d’un rucher
il faut être vigilant aux activités industrielles des environs : vrai ou faux ?
Réponse Vrai,
les industries chimiques peuvent par leurs rejets polluer les pollens
recueillis par les abeilles. De même les fabriques de sirops,
les distilleries peuvent attirer les abeilles qui auront piller la production.
Dans la région Grenobloise un apiculteur a eu la surprise de récolter du miel vert;
c’était du sirop de menthe.
- Quel est le matériel indispensable pour effectuer une visite au rucher ? citez quatre éléments.
Réponse La vareuse de protection, l’enfumoir, le lève-cadre, la brosse à abeille.
- Comment s’y prend-on pour ouvrir une ruche ?
Réponse L’apiculteur prévient la colonie
par 2 ou 3 jets de fumée au trou d’envol.
Ensuite il enlève le toit. Après avoir soulevé un angle du couvre-cadre,
il projette 2 ou 3 jets de fumée dans le corps de la ruche.
Après le bruissement de la colonie,
il peut enlever tout ou partie du couvre-cadre.
- Quelles sont les conditions météorologiques requises pour ouvrir une ruche ?
Réponseil faut une température de plus de 14°c.
(éviter d’ouvrir si les abeilles ne sortent pas).
peu ou pas de vent
( le vent disperse la fumée de l’enfumoir, celui-ci ne joue alors plus son rôle).
Pas de pluie, si possible du soleil pour éviter de trop refroidir la ruche
- Une visite des ruches s’impose à la sortie de l’hiver,
à quel mois s’effectue-t-elle généralement ? comment l’appelle-t-on ?
Réponse Elle s’effectue courant mars c’est la visite de printemps,
les abeilles commencent à voler, ont effectué leur vol de propreté.
- Lors de la visite de printemps en plus du matériel,
l’apiculteur devra penser à d’autres éléments lesquels ? Citer au moins 3 éléments.
Réponse Il doit se munir d’au moins un plancher propre ;
d’une lampe à souder (pour nettoyer les planchers),
de 2 ou 3 cadres munis de cire gaufrée neuve par ruche;
d’un corps de ruche vide( il servira à stocker les cadres mis à la réforme, pour les protéger des pillardes);
d’un seau d’eau javellisée, des nourrisseurs à raison d’un par ruche.
- Lors de la visite de printemps,
l’apiculteur aura soin de nettoyer le plancher de chaque ruche, quelle est la procédure à suivre ?
RéponseAprès avoir dit bonjour aux abeilles grâce à l’enfumoir,
il faut déplacer la ruche visitée et poser le plancher propre à l’emplacement de cette dernière,
ôter le vieux plancher et reposer la ruche sur le plancher propre.
Le nettoyage du vieux plancher s’effectue par grattage,
lessivage à l’eau javellisée et brûlage à la lampe à souder.
Nettoyé il sera mis en place sous la deuxième ruche et ainsi de suite.
- Qu’appelle-t-on cadres de rive ?
RéponseLes cadres sur les lesquels vivent les abeilles
sont perpendiculaires à la façade de la ruche,
les cadres de rive sont les deux cadres situés
contre les parois de la ruche.
Ce sont donc les deux cadres
les plus éloignés du centre de la ruche.
- Lors de l’ouverture d’une ruche après avoir enfumé pour prévenir les abeilles de la visite,
quels cadres enlève-t-on les premiers pour se faire de la place ?
Réponse Il faut commencer par le cadre de rive et son voisin,
les différents cadres seront décalés,
lors de la visite vers leurs emplacements puis redisposés à leur place initiale.
- Pourquoi commence-t-on par enlever le cadre de rive et son voisin lors de la visite d’une ruche ?
RéponseParce que ces deux cadres sont porteurs de couvain mâle et de nourriture,
il n’y a aucune chance d’y trouver la reine et
de risquer de l’écraser en soulevant ces deux cadres.
- Lors de la visite de la ruche,
des abeilles peuvent se trouver sur le cadre de rive et son voisin, que doit-on en faire ?
Réponse Il faut à l’aide de la brosse les faire tomber dans le corps de la ruche.
Ces deux cadres étant posés sur le coté de la ruche pendant la visite,
il est inutile de risquer de les piétiner ou
d’être envahi d’abeilles sur les vêtements.
- Lors de la visite de la ruche,
une prudence toute particulière s’impose lorsqu’on atteint la zone du couvain,
quelles sont les précautions doit-on prendre ?
RéponseIl faut penser que la reine est dans les parages,
il convient de bien écarter le cadre que l’on soulève de son voisin,
pour ne pas risquer d’écraser la reine entre deux cadres.
Lorsque l’on examine le cadre de couvain,
il faut bien être au-dessus du corps de la ruche,
pour que la reine ne risque pas de tomber à l’extérieur de la ruche.
- Qu’arrive-t-il si par mégarde l’apiculteur
lors de la visite d’une ruche fait tomber la reine à l’extérieur de la ruche ?
RéponseCelle-ci est condamnée,
considérée comme mauvaise elle va être tuée par ses ouvrières.
- Lorsque l’apiculteur visite une ruche,
peut-il replacer les cadres tête bêche ?
Réponse Non,
il faut être vigilant et ne pas tourner un cadre
de couvain sur lui-même lorsqu’on le replace
cela désorganise l’ordre des naissances à venir
et peut perturber la ponte de la reine.
- L’apiculteur peut-il deviner dans quelle zone du couvain se trouve la reine lorsqu’il visite celui-ci ?
RéponseOui,
la reine dans sa ponte suit la course du soleil,
l’apiculteur a toutes les chances de la trouver dans la zone de couvain
la plus proche du coté de la ruche frappé par le soleil.
- Lors de la visite de printemps,
en dehors du renouvellement des cires, du nettoyage du plancher, quelle action est primordiale ?
RéponseL’observation des cadres de couvain,
pour voir s’il y a des œufs, donc s’assurer que la reine est toujours en vie,
et par la régularité de la ponte, considérer si la reine est toujours prolifique
ou s’il convient de la changer un peu plus tard dans la saison
lorsque apparaîtront les cellules royales.
- Que l’apiculteur doit-il penser, s’il s’aperçoit lors de la visite de printemps,
qu’il n’y a pas de couvain au centre de la ruche ?
RéponseIl peut considérer que la reine n’a pas survécu à l’hiver,
la ruche est orpheline.
- Que peut faire l’apiculteur
si au cours de la visite de printemps, il découvre une ruche orpheline ?
RéponseIl peut, s’il voit du couvain mâle en quantité,
placer dans cette ruche un ou deux cadres de couvain femelle,
qu’il aura prélevé sur les ruches voisines, si elles sont fortes.
Au moins un des deux cadres devra porter
des œufs de moins de trois jours, donc non operculés,
il permettra aux ouvrières orphelines d’élever de nouvelles reines.
- Que peut faire l’apiculteur, si lors de la visite de printemps,
il découvre une ruche orpheline, sans couvain mâle ?
RéponseDeux options possibles:
1ière option :
Il peut décider si la ruche est peu populeuse de
la transvaser dans une autre ruche peu populeuse,
pour renforcer la main d’œuvre de cette dernière.
2ième option :
in place un cadre de couvain mâle et un
ou deux cadres de couvain femelle
garnis d’œufs de moins de trois jours
pour inciter les abeilles a élever des reines.
- Lors de la visite de printemps quelle opération est-il fortement recommandé de faire ?
RéponseIl est recommandé de procéder au nourrissement des abeilles.
Il faut placer un nourrisseur ( récipient placé au-dessus du couvre-cadre à remplir de sirop 50% sucre, 50% eau,
dans lequel les abeilles peuvent venir puiser ).
Cet apport de nourriture va stimuler la ponte de la reine, renforcer la colonie.
- Comment s’appelle le nourrissement de printemps ?
RéponseC’est le nourrissement spéculatif,
l’apiculteur grâce au nourrissement fait de façon artificielle
accroître le cheptel de la colonie, il mise sur le beau temps et
sur le fait que le grand nombre d’ouvrières pourront aller butiner.
- Quelle est la quantité de sirop à donner aux ruches lors du nourrissement spéculatif ?
RéponseIl est bien de donner 15 kilos de sirop à 50% sucre, 50% eau par ruche, dès la visite de printemps.
- Quel inconvénient peut générer le nourrissement spéculatif ?
RéponseSi le temps est mauvais L’accroissement important de la population
peut rendre la ruche surpeuplée tôt dans le printemps,
cela va favoriser un essaimage précoce.
- Dès le printemps, l’apiculteur doit surveiller l’apparition des cellules royales.
Tous les combien de jours l’apiculteur doit-il faire des visites si il veut bloquer le phénomène d’essaimage ?
RéponseIl doit effectuer ses visites tous les 15 jours au maximum,
ainsi comme les reines mettent 16 jours à émerger,
il est sûr de passer la veille des naissances,
et peut donc détruire les cellules
si il ne veut pas de jeunes reines.
- Les cellules royales mettent 16 jours à éclore,
quel laps de temps l’apiculteur doit-il respecter entre chaque visite
s’il ne veut pas risquer de voir sa ruche essaimer ?
RéponseIl doit espacer ses visites de 15 jours au maximum,
ainsi il passe la veille des naissances éventuelles,
si lors de sa précédente visite aucune cellule royale n’était présente.
- Quel risque prend l’apiculteur si lors de sa visite
il laisse des cellules royales dans une ruche visitée ?
RéponseIl prend tous les risques de voir sa ruche essaimer.
- Quel risque l’apiculteur prend-il , si une ruche essaime au printemps ?
RéponseIl prend le risque de ne pas avoir de récolte avec cette ruche là.
- Pourquoi une ruche qui essaime pénalise-t-elle la récolte à venir ?
RéponseLa récolte sera petite ou absente,
car lors de l’essaimage
la moitié de la main d’œuvre à quitté la colonie.
- Que doit faire l’apiculteur lors d’une visite au printemps s’il désire une nouvelle reine ?
IL aura trois choses à faire ou à contrôler, lesquelles ?
Réponse 1ière chose s’assurer qu’il y ait du couvain mâle.
2ième chose s’assurer qu’il y ait des cellules royales.
3ième chose trouver la reine et la supprimer.
- Pourquoi faut-il tuer la reine d’une colonie si
l’apiculteur décide de laisser des cellules royales éclore après sa visite ?
RéponseLe fait de laisser des cellules royales dans la ruche après la visite
va amener de jeunes reines à naître. En rendant la ruche orpheline l’apiculteur
offre à la première jeune reine émergeant la totalité de la colonie.
- Lorsque l’apiculteur laisse des cellules royales dans la ruche ainsi que la reine, que va-t-il se passer ?
Réponse Un essaimage va se faire,
la première jeune reine émergeant va combattre la reine mère
et l’expulser de la ruche,
cette dernière va emmener avec elle la moitié de la population.
- Une fois la reine mère expulsée de la ruche, que va faire la nouvelle reine ?
RéponseElle va aller détruire les cellules royales restantes pour ne pas à son tour se faire expulser.
- Un essaimage est-il plus grave au mois de juin qu’au mois d’avril ?
RéponseOui,
si la colonie était forte au mois d’avril avant l’essaimage ,
l’apiculteur pourra en la nourrissant la rendre suffisamment populeuse
pour espérer malgré tout une récolte.
Un essaimage au mois de juin condamne généralement la récolte.
- Qu’est il conseillé de faire lorsque une ou plusieurs colonies essaiment en juin ?
RéponseIl est conseillé de réunir les colonies faibles, et de deux ruches sous-peuplées en faire une normalement peuplée, avec suffisamment de main d’œuvre pour la récolte.
- Est-il conseillé de se lancer dans l’apiculture avec une seule ruche ?
RéponseNon,
un minimum de trois ruches permet beaucoup plus facilement
de juger son travail et de rattraper les erreurs éventuelles.
- Les novices en apiculture peuvent-ils se faire aider facilement ?
RéponseOui,
de nombreux apiculteurs aguerris donnent avec plaisir des conseils,
et la plupart des syndicats apicoles donnent
des cours d’apiculture au sein de ruchers écoles.
Suite
- Peut-on piéger les essaims si l’on craint malgré un essaimage
malgré les visites effectuées ? Si oui, comment ?
RéponseIl est possible de disposer des ruchettes pièges devant les ruches.
Il convient de les munir de cadres bâtis et si possible d’un cadre de nourriture,
placées à 20 mètres environ elles seront vite repérées par les éclaireuses.
- Peut-on continuer le nourrissement alors que les hausses sont posées ?
Réponse Non,
se serait une fraude sévèrement sanctionnée,
car le sirop se retrouverait mélangé à la récolte.
On obtiendrait alors du miel frelaté.
- Est-on considéré comme propriétaire d’un essaim sorti de notre rucher s’il est posé chez le voisin ?
RéponseNon,
nous ne pouvons en revendiquer la propriété que,
si lors de sa sortie nous l’avons suivi en martelant sur des objets métalliques,
ce qui a pour effet de le faire se poser.
- Les sapeurs pompiers souvent appelés lorsque des essaims incommodent le voisinage des ruchers,
peuvent-ils détruire ceux-ci ?
RéponseNon, l’abeille reconnue d’intérêt public est protégée par la loi
- L’apiculteur veut déplacer une ruche, quand doit-il la fermer ?
Réponse Pour tout déplacement,
il faut venir à la tombée de la nuit,
pour fermer le trou d’envol.
A cet horaire l’apiculteur emprisonne
à coup sûr la totalité de la colonie.
- L’apiculteur qui veut déplacer une ruche, peut-il le faire dans la journée ?
RéponseOui,
s’il a pris la précaution de venir fermer le trou d’envol la veille au soir.
Sinon, cela serait impossible du fait des attaques portées par les butineuses en liberté,
et si cela réussissait malgré tout,
ce serait n’emmener que la moitié de la colonie
de nombreuses butineuses étant au travail à l’extérieur.
- L’apiculteur vient fermer une ruche
en début de nuit, mais ni voit rien, peut-il s’aider d’une lampe torche ?
RéponseNon,
la lueur fait ressortir illico toutes les gardiennes sur la planche d’envol
et ce pour au moins 20 minutes. Une astuce consiste à placer un tissu rouge sur la source de lumière,
faisant ainsi voir aux abeilles un semblant de soleil couchant.
Cela permet de s’éclairer faiblement.
- Déplacement de ruches sur longues distance: doit-on laisser les ruches hermétiquement closes ?
Réponse Non,
si les abeilles ne doivent pas sortir,
il faut cependant penser à l’aération de la ruche même par transport nocturne.
Il convient de ne pas mettre le toit et de placer un couvre-cadre en tamis fixé
par des baguettes pointées sur le corps de ruche. Cela permet à la ruche de ne pas monter
en température, aux cires de ne pas fondre.
- Lors du déplacement d’une ruche, peut-on ouvrir la ruche dès son arrivée au nouveau rucher ?
RéponseNon,
il est conseillé d’attendre au moins une heure que les abeilles se calment,
puis ouvrir le trou d’envol, les abeilles vont alors faire des vols en ‘ soleil d’artifice ‘
pour reconnaître la nouvelle implantation.
- Lors d’un déplacement de ruche,
un déménagement à moins de 5 km est plus contraignant, que sur une distance supérieure. Vrai ou faux ?
RéponseVrai,
en-dessous de 5 km les butineuses auront le réflexe de retourner à l’ancien emplacement.
Il convient de déplacer la ruche à la tombée de la nuit et de la placer 24 heures dans un endroit frais
et sans lumière pour désorienter les abeilles. Puis de la placer sur son nouveau site.
- Pour un petit déplacement inférieur à 5 km, il est possible d’endormir les abeilles, vrai ou faux ?
Réponse Vrai,
grâce à du nitrate d’ammonium, il est possible de déplacer
une ruche le soir après avoir enfermé la population,
il faut ôter le couvre-cadre et enfumer de 5 à 6 jets de nitrate, refermer, déplacer,
puis aérer la ruche après quelques minutes pour évacuer l’anesthésiant.
- A quelle période est-il conseillé de disposer des ruches-pièges ? mars- avril ou mai-juin ?
RéponseElles ont plus de raisons d’être fin mai début juin,
période où les colonies sortant de l’hiver ont une forte population,
et qui coïncide avec les fortes miellées.
- Lorsque l’on récupère un essaim dans une ruchette-piège
Est-il conseillé de le placer tout de suite au sein du rucher ?
Réponse Non,
il est conseillé de le mettre en quarantaine,
éloigné du rucher pour contrôler qu’il ne soit pas porteur de maladies.
On profitera de cette période pour commencer le traitement contre le varroa (parasite).
- A quelle période doit-on procéder au traitement contre le varroa ( parasite) dans le rucher ?
RéponseLe traitement contre le varroa doit s’effectuer le plus tôt possible après l’hiver,
Il est donc judicieux de le faire dès la visite de printemps.
Il ne faut jamais le faire dans une période de récolte.
- Est-il conseillé d’incliner légèrement la ruche vers l’arrière lors de son installation ?
RéponseNon, au contraire< il est recommandé de l’incliner légèrement vers l’avant,
ce qui favorise l’écoulement de la condensation ainsi que des déchets vers l’extérieur.
- Quelle précaution doit-on prendre lorsque ruche dispose d’un toit plat ?
RéponseIl faut penser à le lester d’une pierre afin qu’un coup de vent ne l’enlève pas.
- Lorsque l’apiculteur dispose plusieurs ruches dans son rucher, est-il conseillé de les aligner ?
RéponseNon,
il est préférable de les disposer de manière désordonnée.
- Un bon rucher doit-être entretenu,
débroussaillage, désherbage, la faux est-elle conseillée pour ce travail ?
RéponseNon,
le sifflement lors de son emploi excite les abeilles et déclenche des attaques.
- Pour débroussailler le rucher, les débroussailleuses à moteur thermique peuvent-elles convenir ?
RéponseOui,
il convient malgré tout d’enfumer les ruches par le trou d’envol au préalable,
car elles énervent les abeilles.
- Pour débroussailler le rucher, quelles sont les meilleures heures pour le faire ?
RéponseL’idéal est de le faire très tôt le matin,
d’enfumer et de fermer les ruches,
afin de travailler sereinement.
- L’apiculteur doit-il disposer de son enfumoir, même si les ruches sont fermées ?
RéponseOui,
il peut y avoir des trous non décelés par l’apiculteur mais repérés par les abeilles.
De plus le fait de toucher le corps d’une ruche inquiète les abeilles et les rend agressives.
- Peut-on repeindre des ruches peuplées ?
RéponseOui,
cela peut se faire en hiver lorsque les abeilles sont au repos,
il faut éviter tout ponçage et n’utiliser que des peintures spéciales pour ruche,
ne pas utiliser des peintures à base de carbonyle afin de ne pas nuire aux abeilles.
- L’enfumage des ruches est très important, joue-t-il un rôle sur la récolte ?
RéponseOui,
il doit être fait calmement et avec modération, par petits jets réguliers,
trop enfumer peut intoxiquer les abeilles et donner un mauvais goût au miel.
- Les abeilles n’aiment pas certaines odeurs
et l’expliquent rapidement à leur apiculteur. Quelles sont-elles ?
Réponse Elles n’apprécient pas les odeurs de parfum, ni celle de l’alcool en général,
l’apiculteur devra en tenir compte.
De même l’apiculteur aura soin de ne pas trop se couvrir car il fait chaud
au-dessus d’une ruche et les abeilles réagissent violemment à l’acidité de certaines sueurs.
- L’apiculteur peut-il prétendre imposer ses choix ou ses méthodes à ses abeilles ? Oui ou non ?
RéponseNon,
les plus grands apiculteurs restent humbles devant leurs abeilles
et reconnaissent qu’ils sont tolérés par elles,
s’adaptent à elles et non l’inverse.
- L’apiculture est-elle une école de maîtrise de soi ? Oui ou non ?
RéponseOui,
car il faut savoir rester le plus calme possible afin de ne pas se faire trop piquer,
même si la situation échappe au contrôle de l’apiculteur.
Le souci constant reste de faciliter le plus possible le travail
des abeilles et leur bien-être. Elles sauront nous en remercier.
- Les abeilles reconnaissent-elles leur apiculteur ?
Réponse Oui,
elles savent à qui elles ont à faire. L’apiculteur maladroit s’en rendra vite compte
car il sera beaucoup moins bien reçu par ses abeilles qu’un collègue attentionné.
La tradition veut d’ailleurs que lorsqu’un apiculteur décède l’on en informe
les abeilles en disposant un crêpe noir sur ses ruches.
- Qu’appelle-t-on ruche à cadres chauds ou à rayons chauds ?
RéponseC’est une ruche dont les cadres sont parallèles à la façade de la ruche.
Les ruches Dadant ou Langstroth par exemple sont des ruches à cadres froids,
puisque perpendiculaires à la face de la ruche.
- Quel est le modèle de ruche le plus utilisé en Europe ?
RéponseC’est le modèle Dadant.
- Comment s’y prendre pour examiner facilement la ponte de la reine sur un cadre de couvain ?
RéponseIl
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